Créer une chasse aux zombies, sur le papier, c’est fun. En vrai… c’est aussi une montagne de logistique, de nuits quasi blanches et de messages envoyés à des heures improbables (désolée à tous ceux à qui j’ai écrit à deux heures du matin) 😅

Entre la gestion des inscriptions, la sécurité, les autorisations, les décors et les rôles à distribuer, j’ai vite réalisé que le vrai défi n’était pas de survivre à une invasion zombie – mais à l’organisation d’un événement.
Ma plus grande peur ?
Qu’il n’y ait pas assez de bénévoles pour tout faire tourner le jour J.
Alors j’ai lancé des campagnes Facebook, envoyé des appels à l’aide à ma famille (dispersée aux quatre coins du pays, évidemment), et multiplié les relances, en croisant fort les doigts.
Et puis, petit à petit, des messages sont arrivés. Toujours pas assez certes.
Mais j’ai déjà des personnes prêtes à filer un coup de main, à se déguiser, à prêter du matériel, à participer simplement parce qu’elles trouvent le projet chouette.
Et c’est ça qui fait que la course peut avoir lieu.
Aujourd’hui, on compte déjà des enfants d’Ibos, des adultes réservés, et de nouvelles inscriptions chaque jour. On a assez de bénévoles pour survivre, et c’est déjà ça.
Même si je continue à avoir cette petite boule d’angoisse dans le ventre (celle que tout organisateur connaît), je me sens surtout reconnaissante.
Parce que sans vous, rien de tout ça ne tiendrait debout.
Un immense merci à ceux qui répondent présent, sans hésiter. Vous êtes littéralement ceux qui font vivre le projet – et sans exagérer, ceux qui m’évitent la crise de nerfs. ❤️
Et pour pimenter un peu la soirée : les participants auront même la possibilité de rejoindre la course en tant que zombie une fois leur parcours terminé, pour semer la panique et compliquer la mission des survivants suivants. 🧟♂️
Le recrutement n’est pas encore terminé – alors si tu veux rejoindre l’aventure, en zombie ou en survivant, viens te perdre avec nous. On manque encore de bras… et peut-être d’un ou deux cerveaux 🧠
